mardi, juin 07, 2005

C'est reparti.

J'avais à peine mis le dada à l'écurie que je dois l'enfourcher de nouveau. La radio, une fois de plus. Parlant de je ne sais plus quoi, la-celle-qui-cause-dans-le-poste évoque la présence d'une "écrivaine". D'abord, le mot n'est pas joli. Ensuite, pourquoi féminiser ainsi les mots. Je dis et répète à qui veut l'entendre, c'est à dire personne, que les mots ont un GENRE mais pas un SEXE. Ou alors, nous allons devoir masculiniser des mots naturellement féminins quand ils s'appliqueront à des représentants de ce sexe faible qu'on appelle les hommes.
Fait-divers : LE sentinelle a tiré par erreur sur LE vedette de cinéma. LE victime n'a été que légèrement atteint
Petit jeu. Trouvez-en d'autres et envoyez-les moi. J'adore

On peut aller plus loin : j'ai vu écrit : Docteur-e, professeur-e, metteur-e en scène, orateur-e, etc. Le e final étant censé indiquer la féminisation du terme. Ce qui est idiot. Odeur, chaleur, ardeur, ferveur, valeur, erreur, et tant d'autres sont bien féminins !
Modifions donc nos propositions et mettons Le SENTINEL, le VEDET et le VICTIM. De toute façon, bien fait pour lui, ce VEDET était un FRANC CANAIL

Oui, je sais, encore un combat perdu d'avance.

J'ai reçu le jeune comédien allemand. Je ne pense pas qu'il fera l'affaire. Très sympa, mais manque de force. Si vous connaissez quelqu'un...

A demain.

jc